KALININGRAD, 12 octobre - RIA Novosti. Lors du futur sommet Russie-UE au Portugal le 26 octobre prochain, la discussion portera principalement sur les problèmes du Kosovo, du Proche-Orient et de l'Iran, a déclaré vendredi à RIA Novosti la Commissaire européenne chargée des relations extérieures Benita Ferrero-Waldner.
Selon Mme Ferrero-Waldner, ce seront des discussions ouvertes et sincères. "Il va sans dire que nous aborderons les problèmes du Kosovo, du Proche-Orient et de l'Iran", a-t-elle dit.
"Nous avons quatre espaces communs: affaires internationales, politique intérieure, rapports économiques, culture et éducation. Nous passerons tout cela en revue", a ajouté la Commissaire européenne chargée des relations extérieures et de la politique européenne de voisinage.
Elle a évalué positivement le niveau actuel des relations entre la Fédération de Russie et l'Union européenne (UE). Quoi qu'il en soit, a-t-elle fait remarquer, bien que l'UE et la Russie soient des partenaires commerciaux extrêmement importants, elles ont des divergences sur toute une série de questions.
"On ne doit pas oublier que la Russie est en train de s'engager dans une période très chargée précédant les futures élections parlementaires et présidentielles", a noté la Commissaire européenne.
A la question de savoir si le problème de la mise au point d'un nouvel accord de partenariat et de coopération (APC) entre l'UE et la Russie serait abordé au futur sommet (pour le moment ce processus est bloqué à cause du veto opposé au lancement des négociations sur un nouvel APC par la Pologne, mécontente de l'embargo russe sur les importations de viande polonaise), Benita Ferrero-Waldner a répondu que l'Union européenne était prête à entamer des négociations sur un nouveau document-cadre.
"Néanmoins, il reste encore le problème de la viande polonaise qui n'est réglé ni par la Russie ni par l'Europe. Les relations russo-polonaises comptent énormément. Nous soutenons évidemment la Pologne, dont nous sommes solidaires. Mais il est nécessaire que la Russie et la Pologne normalisent finalement leurs relations", a indiqué la Commissaire européenne.
Selon Mme Ferrero-Waldner, ce seront des discussions ouvertes et sincères. "Il va sans dire que nous aborderons les problèmes du Kosovo, du Proche-Orient et de l'Iran", a-t-elle dit.
"Nous avons quatre espaces communs: affaires internationales, politique intérieure, rapports économiques, culture et éducation. Nous passerons tout cela en revue", a ajouté la Commissaire européenne chargée des relations extérieures et de la politique européenne de voisinage.
Elle a évalué positivement le niveau actuel des relations entre la Fédération de Russie et l'Union européenne (UE). Quoi qu'il en soit, a-t-elle fait remarquer, bien que l'UE et la Russie soient des partenaires commerciaux extrêmement importants, elles ont des divergences sur toute une série de questions.
"On ne doit pas oublier que la Russie est en train de s'engager dans une période très chargée précédant les futures élections parlementaires et présidentielles", a noté la Commissaire européenne.
A la question de savoir si le problème de la mise au point d'un nouvel accord de partenariat et de coopération (APC) entre l'UE et la Russie serait abordé au futur sommet (pour le moment ce processus est bloqué à cause du veto opposé au lancement des négociations sur un nouvel APC par la Pologne, mécontente de l'embargo russe sur les importations de viande polonaise), Benita Ferrero-Waldner a répondu que l'Union européenne était prête à entamer des négociations sur un nouveau document-cadre.
"Néanmoins, il reste encore le problème de la viande polonaise qui n'est réglé ni par la Russie ni par l'Europe. Les relations russo-polonaises comptent énormément. Nous soutenons évidemment la Pologne, dont nous sommes solidaires. Mais il est nécessaire que la Russie et la Pologne normalisent finalement leurs relations", a indiqué la Commissaire européenne.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire